C’EST PRÊT ! ON MANGE !

C’EST PRÊT ! ON MANGE !

A quelle journée. Elle est sans fin. Déjà ce matin ça démarrait mal. Je n’ai pas su quelle cravate choisir. Bleu. Rouge. De la constance dans l’inconstance. Ou serait-ce de l’inconsistance ? Je ne sais plus trop. Après j’ai embrayé sur ma journée de travail. Sans fin elle aussi. Quadrillée par les heures mais menées par les jeux du hasard. Je me débattais sans fin. Enfin arriva le dîner. Je devais dîner avec mes parents. Hélas je n’avais pas eu le temps de faire les courses. Dilemme ô dilemme devant la porte de mon placard. Cela faisait longtemps que j’en rêvais. L’occasion faisant le larron et non le macaron, je décidais de faire rôtir papa. Je sais c’est freudien. Mais surtout c’est comestible. Au dîner avec maman nous nous régalâmes. Je n’avais pas de dessert. J’avais bien pensé au chien. Mais cela faisait trop de viande. Et puis le soir, j’aime bien quand il fait coucouche panier papates en rond. C’est trop mignon

Ce contenu a été publié dans Atelier au Long cours. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire