Voyager, c’est la vie

Voyager, c’est la vie, c’est aussi se perdre, c’est avancer, c’est reculer, c’est s’abandonner. De temps en temps s’arrêter, regarder, respirer, pleurer aussi.
Le voyage de la vie se déroule devant mes yeux, il y a des jours où je participe, il y a des jours où je n’ai pas la force, même respirer devient compliqué.
Et cette phrase qui tourne et tourne encore dans ma tête, elle s’immisce dans mon corps, s’invite dans mon coeur, elle chamboule tout sur son passage.
Que faire?
S’arrêter?
La détruire?
L’accepter?
L’acceptation a du bon, elle est la pire ennemie de « Souffrance ». Pas des copines ces deux là. Alors j’accepte, oui j’accepte de ne plus vouloir jouer, j’accepte de faire une pause, j’accepte même la culpabilité tiens!
Non.
Celle-là je ne peux pas encore l’accepter. On ne peut pas accepter de se détester et c’est bien là ce qu’est la culpabilité. Je la rejette, je l’exècre, je la fuit….hum…bon, j’y travaille quoi!
Me pardonner, pardonner au autres, au monde entier, pour la faire fuir cette culpabilité, la dissoudre, ZOU! envolée culpabilité!
Mais reste le vide, que faire du vide? Comment le combler, comment l’occuper? Voilà des choses qu’on aurait dû m’enseigner à l’école, bien plus utile que les maths pour sûr.
Le vide je joue avec.
De temps en temps je le remplis mais pas comme il faut.
De temps en temps je le laisse vide.
j’aime quand ça résonne en moi.

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