À partir du décès de Clara, dans la nuit du 22 au 23 août 2007, la narratrice évoque les relations difficiles entre Clara, la grand-mère, et la mère de la narratrice.
C’est aussi le récit du déracinement des Haïtiens, la découverte de ses origines, le métissage.
Les chapitres sont courts. J’ai aimé ce style concis, qui donne plus de force aux souvenirs relatés sous forme de bribes.
C’est le premier roman de Vanessa Schneider.
Vanessa Schneider, La mère de ma mère, Paris, Stock, coll. « Points », 2008, 134p.