Peau de départ

Le gris de Paris s’entrouvre. Sous les pavés coule l’eau. Celle qui va retrouver la mer nourricière, mère de toute vie. Le noir abyssal abrite les divinités perdues, elles veillent encore sur les créatures vivantes. Je nage dans l’eau turquoise. Elle me berce dans ses vagues douces. Tout est tranquille, mon regard se promène sur l’horizon infini. La lumière scintille sur l’eau et m’éblouit. Au dessus, c’est un désert, en dessous la vie crépite.

Ce contenu a été publié dans Atelier Ecriture-Collage. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire