C’est encore mouillé et joyeux, mais bon, l’oiseau en-haut s’égosille à chanter, le poisson sent le vent se lever, et toi ?
Et moi, et moi, et moi ?
Merde !
Chantons, dansons maintenant !
Il court, il court le furet !
Cela n’a ni queue ni tête.
Et alors ?
Cela a peut-être du coeur, du corps.
Un coeur à corps, un corps à coeur ?
Et si nous faisions des millions de coeurs à coeurs ? En choeur ?
Une douce chaleur m’envahit.
Le temps se pose, la paix soudaine envahit le monde.
A la tienne le monde, à la nôtre la vie, tchin tchin, c’est l’heure de l’apéro !
Gaité poétique
Merci Emmanuelle pour ton commentaire, c‘est très gentil !