L’Amour, c’est le sujet. Il n’y en a pas d’autres.

L’Amour c’est le sujet, il n’y en a pas d’autres. Si on regarde bien, de l’Amour, il y en a partout. Autour de soit. Tenez, par exemple, autour de mois, je vois un caméléon qui se dore la pilule au soleil. Et plus que ça, il a les yeux rivés sur une vieille dame qui le lui rend bien en échange de caresses. On dirait qu’ils se sourient. Ils ont l’air de deux âmes heureuses.

De l’Amour, il y en a partout. Il suffit de mieux regarder. Dans le film iranien « Les graines du figuier sauvage », malgré la dramatique condition imposée à la Femme, beaucoup d’amour se dégage entre deux âmes, deux soeurs, deux âmes soeurs. Elle se serrent les coudes et se protègent de tout type de coup qu’elles reçoivent.

De l’Amour, il y en a partout, à condition d’ouvrir grande sa bouche. Tiens, hier, j’ai mangé géorgien. C’est rudement bon le géorgien. On y mange surtout du pain chaud avec du fromage fondu, loin de notre raclette, mais qui passe tout aussi bien. Et alors, quand en plus c’est cuisiné avec Amour…

De l’Amour on peut en trouver à chaque coin de rue. A travers le regard d’un passant, à travers les mots d’un cycliste, à travers la politesse d’une voiture qui vous cède le passage piéton…

Et vous qu’en dîtes-vous de l’Amour ?

Peut-on en ressentir quand on a été abusé ?

Peut-on en ressentir quand on a peur ?

Peut-on en ressentir face à l’injustice ?

Je vous laisse y réfléchir. En regardant au bon endroit.

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