Sur un autre vers de René Char,
Lunes et nuit, vous êtes un loup de velours noir.
Vous êtes, Madame la Nuit,
Vous êtes ma dame drapée de velours noir.
Je vous aime et vous … Continuer la lecture →
Sur un autre vers de René Char,
Lunes et nuit, vous êtes un loup de velours noir.
Vous êtes, Madame la Nuit,
Vous êtes ma dame drapée de velours noir.
Je vous aime et vous … Continuer la lecture →
Sur un vers de René Char :
Après le vent, c’était toujours plus beau.
Transparence de l’air, de la lumière.
La ville lavée par le vent.
Des oiseaux volent à travers le ciel balayé,
Emportant … Continuer la lecture →
A force de lire dans le métro, des L me poussent dans le dos.
Elle est partout. Avec moi. L ma compagne. Mes co-voiturés me regardent tous. Certains attendris, d’autres jaloux, et quelques-uns irrités.
– … Continuer la lecture →
– Chère Immortelle, je suis si honnorée que vous m’accordiez ce temps si précieux qui est le vôtre, et qui vous permet d’être si prolifique, si pertinente, si révolutionnaire je dirais même, tout en conservant … Continuer la lecture →
– J’ai trop de matière. Beaucoup trop. 8 abécédaires. 4 papiers donnés. 4 papiers reçus. Je suis venu avec 2 idées en tête. Et elles se retrouvent en queue de peloton ! J’ai regardé un … Continuer la lecture →
21 mars 2012
A partir d’extraits de poèmes : « mon enfant, ma soeur », « j’ai vu bien des grands satisfaits. J’ai connu des rêveurs ponctuels »
et une phrase à partir d’extraits : … Continuer la lecture →
Des bonnes nouvelles, c’est ce qu’elle entendait au téléphone. « Oh oui, il a fait beau TOUTE la semaine… Il doit bien faire 23°… Faut dire, qu’est ce qu’il a fait froid cet hiver, hein … Continuer la lecture →
Romarin et Ciboulette sont dans une cuisine. Une côte de porc tombe dans la poêle. « Qui la rejoint ? »
Ciboulette en était sûre : Romarin commençait déjà à regarder sa tige l’air absent.… Continuer la lecture →
Elle regarde par la fenêtre
Elle se dit que peut-être
Elle l’attendra encore un peu
Elle préfère être à deux.
Elle ne sait pas quoi dire
Elle n’a plus rien à lire
Elle fait passer … Continuer la lecture →
Elle ouvrit la porte et s’arrêta net.
Ses jambes se mirent à flageoler, ses mains à trembler. Elle resta ainsi sans réagir, tandis que son cœur manqua une marche. Plus rien n’existait autour d’elle, sinon … Continuer la lecture →
La roulette tournait lentement. « Faites vous jeux, rien ne va plus… »
« 21 noir, 21 noir, 21 noir… » murmurait il pour lui-même. La bille s’arrêta sur le 4 noir. Autour de lui, … Continuer la lecture →
Fracassé, reflet de mon état ce matin
Qui m’a fait oublié de prendre le train
Ou alors à l’image de ce vieux vase ancien
Que mon chat a fait basculer, quel crétin.
Fracassé, comme le … Continuer la lecture →
J’aurais donné cher pour trouver la clef des champs.
Au lieu de ça, je suis condamné à errer dans cette ville sombre où le trash se mêle au sordide. Les rats se promènent en toute … Continuer la lecture →
(En utilisant des mots tirés de la chanson « Angora » de Bashung, en gras)
Quelle idée de se lever à l’aube ! Peut-être que c’était pour voir la tête qu’elle a la Gare de … Continuer la lecture →
Rappelez-vous mon âme, l’archipel tourmenté !
Les démons de la luxure qui brillaient à nos portes !
Rappelez-vous comme nous pleurions alors…
Je l’eusse voulue en vous et vous en moi.
Des tiges, dans nos … Continuer la lecture →
J’étais à l’automne de ma vie. Assis sur un banc, dans cette petite gare, je n’en menais pas large…
Une femme aujourd’hui, la seule qui ait vraiment compté, revenait à moi comme au terminus d’une … Continuer la lecture →
Mon premier émoi littéraire – 07 mars 2012
Je me souviens on a marché sur la lune avant Armstrong. Si ! J’y étais avec plein d’amis à poils. Mais non ils étaient habillés ! Il … Continuer la lecture →