Eloge du trou

Trou nous oppose, moi qui suis chien,
Et tout m’attire chez trou, vous que je vois.
A peine ouvert, vous m’inspirez,
Dans votre abyme sans fond, sans fin,
Que je ne rebouche, mon nez,
Moi qui suis normand, vous qui êtes trou.
Je crains l’orage de jour,
Je fais l’éloge du rien.

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