Alcaline, la Féline (réécriture)

Subtile beauté aux yeux vert marine

elle danse, danse ,

figures serpentines .

 

Sa robe en mousseline violine

balance sauvagine.

 

Son épaisse chevelure rouquine s’illumine d’or comme une lettrine

 

Musique cristalline aux fragrances de Chine,

la mandoline lance des accords mandarine.

 

Alcaline tourne, tourne féminine

sur le sol en ouatine.

 

Pas glissés de cygne , pas chassés de ballerine

Arabesques félines,

elle chemine au pays des mille collines.

Une expression mi-coquine mi- angevine,

sur son visage au teint d’opaline

se dessine .

 

Subtile beauté ,

La sublime s’incline et jette à nos pieds

une espérance divine.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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