Rien n’est trop bien

Le feuillage égaré claquait des dents. Colette envahit sa peau et le parfum du sable sautillait dans le bassin. Deux flacons de crevettes sentaient comme des vacances inoubliables. Souple, sang, l’âme, l’oubli de verre. Le tendre jeune homme jouit encore, rien n’est trop bien. Même la vie. Les lettres inoubliables causeraient la perte de sa raison. Quand la grammaire s’allonge sur le sable, elle amasse des crevettes parfumées. Cette chose nouvelle sentait l’herbe amère, deux flacons de sang. Il posa les morceaux de cet univers luxuriant et dégoûtant.

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