Voyage au coeur des couleurs

Le coeur, l’amour, rêves d’enfants. Princesse, prince charmant. Couleurs vives, rose, rouge. Le paradis. La raison ignore le coeur. Les couleurs des cerisiers au printemps. Un pont entre deux rives différentes. Passage d’un endroit à l’autre, d’une amour à l’autre, d’un pays à l’autre. La nature, le vert, l’autotour de l’amour, l’autotour de la vie, l’autotour d’un pays. Tout n’est que région où se poser, paysage où rêver, paradis où se reposer. Vision colorée de l’enfance, gaité du coeur et des pas. On sautille vers l’avant, le coeur plein d’envies de découverte. Les fleurs en point de mire. Les couleurs plein les yeux. Le coeur léger et enfantin. Voyage au centre de la terre. Du plus petit au plus grand. Du plus proche au plus lointain. Découvrir des merveilles pour des rêves d’images et pousser le gris du quotidien. La cascade tombe sur ma tête et l’eau me rafraîchit après ce tour de balançoire vertigineux. Aller toujours plus haut pour toucher le ciel et s’enivrer. Le loup blessé tourne le dos à la petite fille dont le cerveau ressemble à une fourmilière, tout en ébullition. A quoi rêvent les princesses ? A l’avenir, après avoir été fan de blanche-neige ? L’esprit apaisé de la femme japonaise dont le visage se reflète dans le miroir. Regarde t-elle son image ou le champ, la perspective de sa vie ? Le coeur a ses raisons que la raison ignore. Comprendre ses envies, un jour les yeux dans les yeux, demain les dos tournés. Cinema paradiso puis the end of reality.

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